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Aide phobie scolaire : accompagner votre enfant avec bienveillance et efficacité

Votre enfant refuse d’aller à l’école, souffre d’anxiété intense à l’approche de la rentrée, ou présente des symptômes physiques sans raison médicale apparente ? Il est peut-être concerné par la phobie scolaire, un trouble anxieux encore méconnu mais de plus en plus fréquent. Ce refus scolaire anxieux, qui affecte l’enfant, l’adolescent, mais aussi toute la famille, peut entraîner absentéisme, déscolarisation, voire un isolement social profond s’il n’est pas pris en charge à temps. À Hendaye, en tant que conseillère conjugale et familiale, je propose un accompagnement professionnel, en cabinet ou à distance, pour aider à surmonter cette difficulté, en collaboration avec les parents, les enseignants, et les autres acteurs de la vie scolaire.

Qu’est-ce que la phobie scolaire ?

La phobie scolaire se manifeste par une anxiété intense à l’idée de retourner à l’école, au collège ou au lycée. Elle touche un grand nombre de jeunes en France, de tous âges, et peut s’installer progressivement ou surgir brutalement.

Symptômes fréquents

Maux de ventre, nausées, crises de larmes avant d’aller en cours
Refus catégorique de se rendre à l’établissement scolaire
Peur panique liée à l’environnement scolaire ou social
Troubles du sommeil, fatigue chronique
Difficultés de concentration, perte d’estime de soi
Isolement, repli sur soi, crise d’angoisse

Le comportement anxieux peut être interprété à tort comme de la paresse ou de l’opposition, alors qu’il s’agit bien d’une souffrance réelle. L’enfant ou l’adolescent souffrant de phobie scolaire est souvent en détresse et a besoin d’une écoute bienveillante.

Identifier les causes de la phobie scolaire

Chaque parcours est unique, mais plusieurs facteurs déclencheurs reviennent fréquemment :

Harcèlement scolaire, moqueries, mise à l’écart
Séparation difficile (parents, enseignants, camarades)
Changement d’établissement, de classe, de rythme scolaire
Anxiété de performance, peur de l’échec ou du jugement
Troubles déjà présents : anxiété sociale, phobie sociale, trouble anxieux généralisé
Milieu scolaire inadapté, surcharge de travail, manque d’outils pédagogiques
Climat familial tendu, conflits ou transitions importantes à la maison

Quels sont les effets à long terme si rien n’est fait ?

Sans prise en charge adaptée, les conséquences peuvent s’aggraver :

Décrochage scolaire, perte du lien avec l’apprentissage
Scolarité interrompue ou suivie uniquement via le CNED
Sentiment de dévalorisation, perte de confiance
Isolement social, difficultés à maintenir des relations amicales
Risques accrus de dépression ou de troubles plus graves à l’âge adulte

La santé mentale des jeunes concernés nécessite une intervention précoce et des solutions sur-mesure

Quelle prise en charge pour la phobie scolaire ?

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Évaluer la situation de manière globale

Avant toute chose, il est essentiel de poser un diagnostic précis. Cela implique :

  • Un entretien avec les parents pour retracer l’historique des absences scolaires, des symptômes physiques et des changements de comportement.

  • Une observation bienveillante du jeune concerné : son état émotionnel, ses peurs exprimées, ses relations sociales.

  • Un travail d’échange avec l’établissement scolaire (enseignants, infirmier·ère scolaire, CPE) afin de comprendre le contexte pédagogique et les facteurs déclenchants éventuels.

Cette phase d’évaluation permet de reconnaître la phobie scolaire comme un trouble anxieux réel, et non comme une opposition volontaire ou une simple paresse.

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Apaiser l’anxiété de l’enfant ou de l’adolescent

L’accompagnement passe avant tout par la réduction de l’angoisse qui empêche l’enfant de se rendre en cours. Cela comprend :

  • Un cadre rassurant, sans pression ni obligation immédiate de retour en classe.

  • Une approche thérapeutique fondée sur l’écoute, la bienveillance et la progressivité.

  • Des outils concrets pour gérer le stress : respiration, relaxation, verbalisation des peurs.

  • Une valorisation des réussites, même minimes, pour reconstruire l’estime de soi.

Les thérapies comportementales et cognitives (TCC) peuvent également être mobilisées, en lien avec un psychologue, un pédopsychiatre ou un médecin généraliste, selon la gravité des troubles.

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Travailler avec la famille et les adultes référents

La famille joue un rôle central dans la prise en charge de la phobie scolaire. C’est pourquoi il est essentiel de l’accompagner aussi :

  • Les parents sont écoutés, soutenus, et guidés dans leur posture éducative.

  • On les aide à sortir du sentiment d’échec ou de culpabilité, pour redevenir des alliés actifs du processus.

  • Les enseignants, conseillers d’éducation et parfois même des associations spécialisées peuvent être impliqués pour créer un cadre pédagogique adapté.

Ce travail en co-construction permet de réduire les tensions, d’éviter les conflits autour de l’école, et de mettre en place un plan de retour à la scolarité réaliste.

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Préparer le retour à l’école ou envisager des alternatives

L’objectif final est toujours le retour à une scolarité équilibrée. Mais cela peut prendre des formes diverses :

  • Un emploi du temps adapté, avec une présence partielle au début (1/2 journée, 1 jour sur 2…)

  • Un dispositif d’enseignement à distance (ex. CNED), utilisé de façon temporaire ou complémentaire

  • Le recours à une école alternative, plus souple, si le système classique ne convient pas

  • Une collaboration continue entre tous les acteurs : thérapeute, parents, équipe pédagogique

L’enfant ou l’adolescent doit se sentir acteur de son propre parcours, pour retrouver confiance et motivation. On avance à son rythme, sans précipitation, mais avec un cap clair : rétablir le lien avec l’école et le plaisir d’apprendre.

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Un suivi pour toute la famille

L’enfant n’est pas le seul à souffrir. Le parent, souvent démuni, vit également l’expérience comme un échec, une source d’angoisse ou de culpabilité. Marie Dupuis propose également un espace de soutien aux familles, pour :

  • Comprendre la phobie scolaire

  • Adopter une posture aidante, sans pression ni surprotection

  • Retrouver du lien, sortir de la spirale du conflit

  • Co-construire un parcours de soin avec les professionnels concernés

Où consulter ?

Les consultations ont lieu à Hendaye, dans un espace confidentiel au sein de l’Ongi Espace Santé, ou en visio pour les familles habitant en dehors de la région ou dans l’incapacité de se déplacer.

Je m’appuie sur :

  • Une expérience de plus de 20 ans

  • Une formation certifiée par l’AFCCC

  • Une démarche éthique rigoureuse (confidentialité, non-jugement)

  • Un réseau de professionnels de santé et de l’éducation pour un suivi global

Numéro de téléphone

06 19 89 24 10

Adresse

Ongi Espace Santé
20, place de la République
64700 Hendaye

Horaires d'ouverture

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FAQ – Harcèlement scolaire : vos questions les plus fréquentes

Le rôle de la conseillère conjugale et familiale est complémentaire à celui du psychologue scolaire, du médecin généraliste ou du pédopsychiatre. Elle intervient dans la dimension relationnelle et émotionnelle : tensions familiales, angoisse de séparation, difficulté à dialoguer, besoin de reconstruire la confiance.

En cas de trouble médical ou psychiatrique avéré, une prise en charge médicale conjointe est essentielle. Certaines structures officielles, associations comme l’Association Phobie Scolaire, ou des dispositifs locaux peuvent aussi être mobilisés.

Certains signes doivent alerter : refus répété d’aller à l’école, maux de ventre le matin, pleurs ou crises d’angoisse avant la classe, absences fréquentes, détresse émotionnelle. Un dialogue avec un professionnel peut aider à identifier la cause.

Oui, avec un accompagnement adapté, du temps, une approche pluridisciplinaire et une écoute active, la phobie scolaire peut être surmontée. L’objectif est de redonner à l’enfant l’envie d’apprendre et la confiance en lui.

Mettre en place des activités éducatives à domicile, maintenir le lien social, favoriser des moments de dialogue sans pression, explorer des solutions pédagogiques alternatives comme le CNED ou l’enseignement à distance.

Dès que la phobie scolaire empêche votre enfant de suivre une scolarité normale, ou que son anxiété perturbe fortement sa vie quotidienne. Il vaut mieux agir tôt que d’attendre une crise.

Le silence est parfois une forme de protection. La bienveillance, le non-jugement, et la possibilité d’un espace neutre avec un thérapeute peuvent faire la différence. La présence d’un tiers professionnel aide souvent à rétablir le dialogue.

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